Pinocchio

Il était une fois...
Je ne pourrais pas expliquer comment, mais le fait est qu’un beau jour un tube en bronze se retrouva dans l’atelier, de hubert.
Apercevant ce tube en bronze, hubert devint tout joyeux et, se frottant les mains, marmonna:
- Ce tube est arrivé à point: je vais m’en servir pour ma machine observation.
Sitôt dit, sitôt fait : il empoigna sa clé plate et son marteau. Mais comme il allait donner le premier coup, son bras resta suspendu en l’air car il venait d’entendre une toute petite voix qui le suppliait :
- Ne frappe pas si fort !
Imaginez la tête de ce brave papa !
Ses yeux égarés firent le tour de la pièce pour comprendre d’où pouvait bien venir cette voix fluette, mais il ne vit personne. Il regarda sous l’établi: personne ! Il ouvrit une armoire habituellement fermée mais, là non plus, il n’y avait personne. Il poussa même la porte de son atelier et jeta un coup d’œil sur la route. Pas âme qui vive ! Mais alors ?
- J’ai compris – dit-il en riant et en grattant sa perruque – cette voix, je l’ai imaginée. Remettons-nous au travail.
Empoignant de nouveau sa clé plate et son marteau, il en asséna un formidable coup au tube de bronze.
- Aïe ! Tu m’as fait mal ! – se lamenta la même petite voix.
Cette fois, hubert en fut baba. Il resta bouche bée, la langue pendante, les yeux exorbités, comme la figurine de pierre d’une fontaine.
Mais d’où peut bien sortir cette voix qui fait « aïe » ? Pourtant il n’y a personne ici. Où alors ce tube aurait appris à pleurer et à se lamenter comme un enfant ? C’est impossible. Le bout de tube que voici, c’est du tube de bronze, un métal comme une autre. A moins que quelqu’un ne soit caché là-dedans ? S’il y a quelqu’un, on va bien voir ! Tant pis pour lui.
Il saisit à deux mains le pauvre tube en bronze et se mit à le cogner sans pitié contre les murs de la pièce.
Puis il tendit l’oreille pour entendre les lamentations de la petite voix. Il attendit deux minutes, mais rien ne se manifesta. Il attendit cinq minutes, dix minutes : toujours rien !
- J’ai compris – dit-il en s’efforçant de rire et en se grattant la perruque – voilà la preuve que cette voix qui fait « aïe » sort tout droit de mon imagination ! Remettons-nous au travail.
Et parce qu’il avait eu très peur, il s’essaya à chantonner pour se donner un peu de courage.
Posant clé plate et son marteau, il prit le papier à penser pour rendre bien lisse et propre le bois mais, alors qu’il rabotait, il entendit un petit rire :
- Arrête ! Tu me fais des chatouilles sur tout le corps !
Cette fois, le malheureux papa s’effondra, comme foudroyé. Quand il rouvrit les yeux, il était assis à même le sol. Il passa toute la nuit sur le sole.
Le lendemain matin.
Tous d’in cou il se réveilla pris d’une envies de fabriquer sans savoir se qui voulez faire il prit sans attendre ses outils et se mit à viser le tube en bronze afin de confectionner quelque chose.
Il pris tous se qui lui tomber dans les main jusqu’au démonter c’est inventions pour récupérai des pièce. A se me mon la tous devenais clair il de vais construire une marionnette automatiser.
- Quel nom lui donner ? – se demanda-t-il - Je l’appellerai bien Pinocchio. Ce nom lui portera bonheur. J’ai connu une famille entière de Pinocchio. Le père, la mère, les enfants, tous se la coulaient douce. Et le plus aisé d’entre eux se contentait de mendier.
Ayant trouvé le nom de sa marionnette mécanique, il se mit à travailler sérieusement. Il commença par sculpter la chevelure, puis le front et les yeux.
Les yeux terminés, imaginez son étonnement quand il s’aperçut qu’ils bougeaient et le regardaient avec impudence.
Alors il fit le nez, mais le nez à peine fini commença à grandir. Il grandit, grandit, grandit tellement qu’il devint, en quelques minutes, un nez d’une longueur incroyable.
Le pauvre hubert avait beau s’éreinter à le retailler, plus il le retaillait pour le raccourcir, plus ce nez impertinent s’allongeait
Après le nez, il sculpta la bouche.
Mais la bouche n’était même pas terminée qu’elle commença à rire et à se moquer de lui.
- Arrête de rire ! – dit hubert, vexé. Mais ce fut comme s’il parlait à un mur.
- Arrête, je te répète ! – hurla-t-il d’une voix menaçante.
Alors la bouche cessa de rire mais lui tira la langue.
hubert, pour ne pas rater son ouvrage, fit semblant de ne rien voir et continua à travailler.
Après la bouche, ce fut au tour du menton puis du cou, du ventre, des bras et des mains.
Les mains achevées, hubert sentit qu’on lui enlevait sa perruque. Il leva la tête et que vit-il ? Sa perruque jaune dans les mains de la marionnette !
- Pinocchio !... Rends-moi tout de suite ma perruque !
Mais au lieu de la lui rendre, Pinocchio la mit sur sa tête. La perruque lui mangeait la moitié du visage.
Ces manières insolentes avaient rendu triste hubert, comme jamais il ne l’avait été de toute sa vie. Il se tourna vers Pinocchio et lui dit :
- Bougre de gamine ! Tu n’es même pas fini que tu manques déjà de respect à ton père ! C’est mal, ma fille, c’est mal !
Et il sécha une larme.
Restaient cependant à fabriquer les jambes et les pieds.
Quand hubert eut fini, il reçut un coup de pied en plein sur le nez.
- C’est de ma faute – se dit-il alors. J’aurais dû y penser avant. Maintenant c’est trop tard.
Après quoi, il empoigna la marionnette mécanique sous les bras et la posa sur le sol de la pièce pour la faire marcher.
Mais Pinocchio avait les jambes raides et ne savait pas encore s’en servir. hubert le prit alors par la main et lui apprit à mettre un pied devant l’autre.
Une fois ses jambes dégourdies, Pinocchio commença à marcher tout seul puis il se mit à courir à travers la pièce. Finalement, il passa la porte de la maison, sauta dans la rue et s’enfuit.
Après maître enfuis j’ai du prendre un coup sur la tête, qui ma provoquer une perte de mémoire.

Très bientôt je vous dirais plus informations sur moi, mes pour l’instant régaler vous de ma petite histoire.

C'est bien mais j'espere que les fautes d'orthographe, c'est fait expres parce que la, c'est vraiment grave de ne pas savoir écrire: à ce moment là...